lundi 23 janvier 2012

Embrassez-moi

Auteur : Katherine Pancol
Editeur : LGF
Collection: Le livre de poche
Parution : 12 octobre 2005
Pages : 413

C'est à New York aujourd'hui.
C'est à Rochester dans les années 1980.
C'est à Hollywood...
C'est à Paris...
C'est en Tchéquie avant et après la chute du Mur...
Angela est française. Elle est souvent passée à côté de l'amour sans le voir mais cette fois, elle est face à sa peur viscérale d'aimer...
Louise est américaine, ancienne star de cinéma. Elle dialogue avec Angela, lui raconte sa vie, ses amours, ses échecs. Virgile est français. Il aime, mais il se méfie, on ne sait presque rien de lui...
Mathias est tchèque. Rien ne peut le détourner de sa route. Il refuse de s'abandonner.
Ces femmes, ces hommes traversent le chemin d'Angola, la narratrice, qui cherche désespérément un fil. Le fil de la mémoire, de l'amour, du désir, de la liberté d'aimer ou de répéter sans arrêt les mêmes peurs, les mêmes douleurs, les mêmes échecs...


Mon avis

Les autres romans de cette auteur, notamment les fameux «Valse lente des tortues», «Les yeux jaunes des crocodiles» et «Les écureuil de Central Park son tristes le lundi» ne me faisait vraiment pas envie. Pourtant, je voulais lire quelque chose d'elle. J'avais vu ce livre sur un autre blog, et voilà comment je me suis embarquée dans «Embrassez-moi».

Au début, je pensais que ça allait être des nouvelles, avec tout le temps de nouveaux personnages, en fait, c'est un vrai roman, qui tourne autour d'un personnage qui raconte des instants de sa vie. Quand Angela se retrouve à New York, j'imaginait vraiment la belle fille, qui porte une robe fleurie, des cheveux un peu en batailles, mais tant pis elle est belle comme ça. Le printemps, le printemps à New York. J'avais l'impression d'être entrainée dans une valse qui n'en finissait pas. C'était très étrange, on ressentait vraiment des tas de choses à lire ces mots. Ca peut paraître des fois simples, et d'autres fois compliqué. On saute d'un personnage à un autre, d'une époque à une autre.

Malgré tous ces bons points, qui font qu'il vaut mieux vivre avec les meilleurs souvenirs de notre vie, j'ai trouvé ce roman un peu trop long. Pancol aurait pu sans autre enlevé une centaine pages, sans que ce livre perde de son charme. Ca reste par contre, une agréable lecture de printemps.

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